1 Sep 2022 Un sourire (Mère Teresa) by Professeur | posted in: Chapitre 1, Religion 1ère | 0 Lien vers l’article sur Mère Teresa Comblez les vingt lacunes au moyen des 20 mots ci-dessous. Acheter sourire riche électricité apportons beaucoup généreux généreux cœur cœur appauvrir heureux voler indésirable immortel serviables courage aimants guérissable donne . Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup. Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne. Il ne dure qu’un instant. Mais son souvenir est parfois immortel Personne n’est assez riche pour s’en passer et nul n’est assez déshérité qu’il ne puisse en faire l’aumône. Un sourire, c’est du repos pour l’être fatigué, du courage pour l’âme abattue, de la consolation pour le cœur endeuillé. C’est un véritable antidote que la nature tient en réserve pour toutes les peines. Et pourtant, il ne peut ni s’acheter ni se prêter, ni se voler. Car il n’a de la valeur qu’à partir du moment où il se donne. Et si l’on vous refuse le sourire que vous méritez, soyez généreux, donnez le vôtre. Nul, en effet n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne sait pas en donner aux autres. Compte, si tu veux, le nombre de sourires que ton sourire a provoqué chez les autres pendant le jour. Ce nombre signifiera combien de fois tu as été cause de ce contentement, joie, satisfaction, courage et confiance. Ces bonnes dispositions sont parfois à l’origine des plus beaux actes et des plus belles actions. Ton sourire peut porter une nouvelle vie, espoir et courage aux cœurs découragés, opprimés, fatigués, tentés ou désespérés. Car, un sourire coûte moins cher que l’électricité et éclaire beaucoup mieux. Soyez bons et généreux Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être meilleur et plus heureux. Soyez l’expression vivante de la bonté de Dieu. Que la bonté soit sur votre visage, dans vos yeux, dans votre cœurdans la chaleur de votre salut. Dans leurs taudis, nous sommes, pour les pauvres, la lumière de la bonté de Dieu. Aux enfants, aux pauvres, à tous ceux qui souffrent et qui sont seuls, donnez toujours un sourire de gaieté. Ne leur donnez pas seulement vos soins, mais aussi votre cœur. Ce n’est pas très souvent des choses dont ils ont besoin. Ils ont beaucoup plus besoin de ce que nous leur apportons. Pendant ces vingt années de travail parmi eux, je me suis rendu compte de plus en plus que la pire maladie qui puisse frapper un être humain, c’est d’être indésirable. De nos jours, on a trouvé des remèdes à la lèpre et les lépreux guérissent. Il y a des remèdes à la tuberculose. Pour toutes sortes de maladies, il y a des remèdes et des traitements. Mais, quand on est indésirable, s’il n’y a pas de mains serviables et des cœurs aimants alors, je ne crois que cette terrible maladie puisse être jamais guérissable. Mère Teresa de Calcutta. Document suivant : Ta porte est-elle ouverte… entrouverte… ou fermée?