Développer le rapport au monde

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Introduction

« Le monde est un endroit magnifique pour lequel il vaut la peine de se battre.»

Ernest Hemingway

Une chanson pour sensibiliser…

Aux  arbres  citoyens  de  Yannick  Noah

Le ciment dans les plaines
Coule jusqu’aux montagnes
Poison dans les fontaines,
Dans nos campagnes

De cyclones en rafales
Notre histoire prend l’eau
Reste notre idéal
« Faire les beaux »
S’acheter de l’air en barre
Remplir la balance :
Quelques pétrodollars
Contre l’existence

De l’équateur aux pôles,
Ce poids sur nos épaules
De squatters éphémers…
Maintenant c’est plus drôle
Puisqu’il faut changer les choses
Aux arbres citoyens !
Il est grand temps qu’on propose
Un monde pour demain !

Aux arbres citoyens
Quelques baffes à prendre
La veille est pour demain
Des baffes à rendre

 

Faire tenir debour
Une armée de roseaux
Plus personne à genoux
Fait passer le mot

C’est vrai la terre est ronde
Mais qui viendra nous dire
Qu’elle l’est pour tout le monde…
Et les autres à venir…
Puisqu’il faut changer les choses
Aux arbres citoyens !
Il est grand temps qu’on propose
Un monde pour demain !

Puisqu’il faut changer les choses
Aux arbres citoyens !
Il est grand temps qu’on s’oppose
Un monde pour demain !
plus le remps de savoir à qui la faute
De compter la chance ou les autres
Maintenant on se bat
Avec toi moi j’y crois

Puisqu’il faut changer les choses
Aux arbres citoyens !
Il est grand temps qu’on propose, un monde pour demain

 

  1. Quel est le sujet de cette chanson ?
  2.  

  3. Quel message veut-il faire passer ?
  4.  

  5. Dans la chanson de Yannick Noah, que fait la planète ?
  6.  

  7. Quels sont les points communs avec les images montrées auparavant ?
  8.  

  9. Quel serait pour toi, chrétien, le monde ideal de demain ?

Quel avenir pour ma planète ?

Les animaux face à l’homme…

23 000 dauphins massacrés au Japon : que se passe-t-il dans la baie de Taiji ?

La mer rouge sang à Taiji

Chaque année, des milliers de dauphins sont massacrés près de la ville de part et d’autre du Japon… En 2010, plus de 23 000 ont été tués dans un véritable bain de sang… La petite baie de Taiji est au coeur d’une tradition séculaire qui suscite une hostilité grandissante depuis qu’elle est connue du monde entier.

Petit port de l’ouest du Japon, Taiji a été rendu célèbre par le documentaire « The Cove, la baie de la honte ». Ce film, récompensé par un Oscar en 2010, a rendu public le massacre inacceptable de centaines de dauphins, pour le business du loisir.

Les dauphins sont massacrés pour le spectacle

Pour le spectacle, oui. Cette formulation peut choquer, révolter, et pourtant… Si les pêcheurs de la baie de Taiji capturent chaque année des milliers de dauphins, c’est avant tout pour satisfaire la demande qui émane des delphinariums du monde entier. Un dauphin destiné aux parcs aquatiques se revend jusqu’à 150 000 dollars !

Une vraie manne pour les pêcheurs, une activité plus que lucrative, un véritable business, entretenu par des parcs qui prétendent mener des spectacles « éducatifs »… Et dont le but avoué serait de favoriser une meilleure connaissance et une protection plus effective des dauphins et des cétacés !
Mais qu’y a-t-il d’éducatif à voir des dauphins contraints par la faim à effectuer pirouettes et pitreries ? Et surtout, comment peut-on se prétendre protecteur des dauphins sauvages quand on participe à une industrie de la captivité qui mène au massacre d’innombrables cétacés ?

Sur tous les dauphins capturés dans la baie de Taiji, une toute petite partie est sélectionnée par les dresseurs des delphinariums. Ce sont seulement les plus beaux spécimens (des femelles Tursiops Truncatus, celles qui ressemblent à Flipper) qui sont épargnés pour être revendus à des prix exorbitants.

Et la viande

Tous les autres dauphins sont ensuite rabattus dans la petite baie de Taiji situés non loin. C’est là, à l’abri des regards, qu’ils sont massacrés dans des conditions atroces, avant d’être dépecés, pesés et emballés pour finir sur les étales des marchés, dans les restaurants et même, jusqu’à il y a peu, dans les cantines scolaires de la ville… Un dauphin mort rapporte ainsi 600 $. C’est beaucoup moins qu’un dauphin captif, certes. Mais pourquoi se priver d’une source de revenus complémentaires ?

Et pourtant, la demande de viande de dauphin diminue, comme pour les baleines, et il ne reste plus qu’une centaine de personnes qui continuent cette pêche à Taiji. Mais dans le village, certains mettent toujours en avant la tradition, pour rappeler que cette pêche est vieille de 400 ans et dénoncer cet « impérialisme culturel » au nom duquel tuer des dauphins serait plus cruel qu’abattre du bétail.

La ville de Taiji va ouvrir un parc marin

Loin de stopper le massacre, la municipalité de Taiji, projette d’ouvrir un parc marin de 28 hectares d’ici 5 à 20 ans. Une partie de la baie devrait devenir une réserve, dans laquelle touristes et autres curieux pourront nager ou faire du kayak en compagnie de ces cétacés, a confirmé à l’AFP Masaki Wada, un fonctionnaire de la mairie.

Le port possède déjà une petite zone réservée avec des cétacés pour accroître le tourisme, mais « Nous voulons« , poursuit M. Wada, « faire de tout le village un parc, où vous pourrez observer ces mammifères marins et aussi goûter des produits de la mer, dont du dauphin et de la baleine« . Il n’est donc pas du tout question d’arrêter le massacre.

« Tout ce plan est basé sur l’idée qu’ils peuvent exploiter les dauphins et les baleines comme s’ils leur appartenaient, mais les cétacés n’appartiennent pas à Taiji !« , pestait Nanami Kurasawa, qui dirige l’ONG Iruka and Kujira Action Network (IKAN, Groupe d’Action pour les Dauphins et les Baleines).

The Cove, la baie de la honte

Gardons-nous de juger hâtivement la grande majorité des Japonais qui ne sont pas au courant de ces massacres… Jusqu’à la sortie du documentaire The Cove, les médias nippons pratiquaient un black-out médiatique complet sur cette boucherie.

Les dauphins, animaux adorés dans la plupart des cultures et reconnus par les scientifiques comme les plus intelligents de la planète avec les Hommes, sont nos « frères marins », ou nos « cousins » pour reprendre le mot de Luc Besson.

A notre niveau, nous pouvons boycotter les delphinariums qui rendent esclaves et malheureux des dauphins qui sont des animaux migrateurs et sociaux et qui n’ont absolument pas leur place en captivité.

  1. De quoi parle le texte ? Où cela se passe-t-il ?
  2.  

  3. Est-ce un cas isolé ou est-ce fréquent avec d’autres animaux ?
  4.  

  5. Donne d’autres exemples du problème de destruction sur la faune ?
  6.  

  7. Quelles conséquences cela a-t-il sur la planète ?
  8.  

  9. Que peut-on faire pour empêcher ces massacres et avec quels moyens?

Les espèces invasives…

Voici quelques images, observe-les ?

La  Berce de Caucase : La berce du Caucase est une des plus grande plante herbacée d’Europe. Elle peut atteindre 4 m de haut et 10 cm de diamètre. La berce du Caucase colonise surtout les berges des cours d’eau. Utilisée comme ornementale, l’espèce est fréquente à proximité des maisons.

Espèce classée A3 (envahissement maximum) en Belgique. C’est un envahisseur très agressif partout en Europe. Etant donné sa taille imposante, l’espèce a tendance à dominer la végétation et à créer un ombrage important qui empêche les espèces indigènes de se développer. La berce du Caucase réduit la diversité en plantes et modifie la composition botanique des milieux envahis. La plante est partout présente en Belgique. Les cours d’eau sont particulièrement envahis. Elle peut également causer de graves problèmes de santé publique. Au contact de la peau, sa sève peut générer de graves brûlures.

Le frelon asiatique

Il semble que l’insecte soit arrivé en France caché dans un chargement de poteries chinoises en 2004.En déballant ces poteries, la reine frelon en en profité pour s’enfuir et à partir d’elle seule, fécondée, la prolifération a commencé. Trois ans plus tard, on peut dire, que cette espèce prolifère rapidement. Il construit ses nids sphériques (de la taille d’une lessiveuse) à très grande hauteur dans les pins ou les autres arbres, hors de portée des regards, facilement à plus de 12m de hauteur ! Sa caractéristique est de s’attaquer aux ouvrières des ruches, notamment des espèces Apis mellifera et Apis cerana « notre abeille ». Selon les observations, ce frelon se positionne en vol stationnaire à l’entrée des ruches, prêt à fondre sur les abeilles. Il la saisit entre ses pattes et la tue en lui coupant la tête d’un coup de mandibules derrière sa tête avant de l’emporter dans un arbre pour la dépecer. Après lui avoir arraché les pattes et les ailes, toute chaude, il en fait une boulette qu’il emporte jusqu’au nid pour en nourrir ses larves. Il arrive à tuer et à emporter une abeille en quelques minutes. Une dizaine de frelons suffisent à condamner une ruche par leur inégalable ténacité…

Long de 20 à 25 millimètres pour les ouvrières, jusqu’à 30 mm pour les reines, Vespa velutina est un peu plus petit que son cousin Vespa crabo, jusqu’à présent seule espèce de frelon représentée en Europe de l’Ouest. Les reines frelons sont impressionnantes, d’autant qu’elles volent en faisant beaucoup de bruit (de vraies forteresses volantes !). Pour autant, l’animal est assez timide.

On les reconnaît aussi à leur thorax entièrement brun noir velouté et à leurs segments abdominaux bruns, bordés d’une fine bande jaune orangé. Seul le 4e segment de l’abdomen est presque entièrement jaune orangé, c’est par cette caractéristique que on le repère bien. Les pattes brunes, sont jaunes à l’extrémité. La tête est noire et la face jaune orangé. Cette espèce exotique est impossible à confondre avec la seule espèce de frelon vivant en France, le Frelon d’Europe, Vespa crabo, qui a le corps taché de roux, de noir et de jaune et l’abdomen jaune rayé de noir.

Les coccinelles asiatiques

Comme chaque année, à partir de mi-octobre ou mi-novembre, les coccinelles asiatiques envahissent nos habitations. Cette coccinelle originaire d’Asie s’est soudain acclimatée à l’Europe avant de l’envahir presque totalement et de devenir une espèce invasive.

La coccinelle asiatique a été volontairement importée chez nous en 2001, et relâchée dans la nature comme agent de lutte biologique. Elle est utilisée principalement par les horticulteurs, mais aussi par les particuliers, pour lutter contre les pucerons. Elle est extrêmement vorace et polyphage et sa fécondité est très élevée. En 2004, elle avait envahi toute la Belgique. La coccinelle asiatique pose toute une série de problème : elle représente une menace pour les coccinelles indigènes, menace l’écosystème, elle se nourrit des larves de ses congénères et peut envahir, par millier, les habitations.

  1. Qu’est-ce qu’une espèce invasive ?
  2.  

  3. L’homme a-t-il sa responsabilité ? justifie !
  4.  

  5. Quelles sont les conséquences sur l’écosystème ?
  6.  

  7. Quelles sont les gestes à adopter pour réduire ces espèces ?
  8.  

  9. Recherche trois autres espèces invasives et note-les ci-dessous ! (Devoir)
  10.  

  11. Est-ce récurrent  et justifie !

L’huile de Palme…

  1. Quelles  sont les huiles utilisées pour fabriquer ce choco ?
  2. Est-il indiqué clairement « huile de palme » ?
  3. Pourquoi ?

Analyse le document suivant :

L’huile de palme, comment la reconnaître et l’éviter ?

Par Virginie Coenart , le 12 septembre 2013 à 11h16

Fortement décriée cette semaine, l’huile de palme est aujourd’hui la bête noire de nos assiettes. Voici quelques conseils pour la repérer et surtout l’éviter!

Le Conseil Supérieur de la Santé a émis lundi un avis concernant la problématique des acides gras saturés et plus particulièrement celle de l’huile de palme. Sa consommation excessive aurait des effets néfastes pour la santé, générant entre autre une hausse du taux de mauvais cholestérol  et augmentant ainsi le risque d’accidents cardio-vasculaires. Il est  donc recommandé aujourd’hui de limiter la consommation de ces acides gras saturés dit « athérogènes » à 8% des apports énergétiques totaux alors que le Belge en consommerait actuellement 16%.

L’huile de palme est partout!

Vouloir se passer de l’huile de palme c’est bien, mais y arriver relève souvent d’un exploit ! Elle est peu couteuse, résultat on la retrouve partout: dans les pâtisseries et gâteaux, les plats préparés, les viennoiseries, les pizzas,  les chips, les quiches et pâtisseries salées, les  sandwichs,  les biscuits sucrés et barres céréales, dans les pâtes à tartiner ou encore dans les margarines!

Mais elle se cache également de façon beaucoup plus sournoise dans de nombreux aliments. Sa présence, par exemple, dans le lait en poudre pour bébé a de quoi inquiéter!  Elle est également présente dans de nombreux additifs alimentaires, des les pains industriels, biscottes,…

En fait, il n’y a actuellement aucune obligation de mentionner le type d’huiles présentes dans les aliments. L’huile de palme est donc souvent référencée sur l’étiquette comme « huile végétale ». Heureusement, une modification de la législation européenne obligera à indiquer la source des huiles à partir de décembre 2014.

En attendant ouvrez bien l’œil et méfiez-vous des aliments qui contiennent les mentions suivantes sur leurs étiquettes: Huile/Graisse/Matière grasse végétale, huile végétale hydrogénée, Huile de palme hydrogénée, Huile/Graisse palmiste, Mono- di-glycéride d’acide gras, Oléïne de palme, Stéarine de palme ou encore Sucroesters d’acides gras.

Un désastre écologique

Outre ses conséquences sur notre santé, la culture intensive de palmiers à huile est engendre une vraie catastrophe écologique. Pour permettre ces plantations, des milliers d’hectares de forêt tropicale d’Asie du Sud-Est ou d’Afrique centrale sont détruites. C’est surtout le cas en Indonésie ou en Malaisie, les deux principaux producteurs mondiaux d’huile de palme.

Pour déboiser, les forêts sont brûlées, entraînant la disparition d’espèces animales, notamment l’orang-outan. Les populations locales ne sont évidemment pas en reste… Depuis 2000, on estime que 13 millions d’hectares de forêts ont été rasés dans le cadre de la culture intensive de palmiers.

  1. Qu’est-ce que l’huile de palme ?
  2.  

  3. Quelles sont ses différentes appellations ?
  4.  

  5. Quelles sont ses conséquences sur la santé et pourquoi?
  6.  

  7. Quelles sont les conséquences sur l’environnement ?
  8.  

  9. Quelles sont les mesures prises par les autorités ?
  10.  

  11. Et toi qu’en penses-tu ?
  12. Le gaspillage ménager…..

    Par gaspillage, on peut entendre le gaspillage alimentaire mais aussi le fait de ne pas faire attention au quotidien sur la consommation d’eau, d’électricité ou de gaz.

    Le gaspillage alimentaire dans le monde

    Combien d’aliments gaspillés dans le monde  ?

    1 300 000 000 000 kilos

    Selon une analyse menée en 2011 par la FAO, on estime que la quantité de gaspillage alimentaire dans le monde s’élève à 1,3 milliard de tonnes par an, 1 300 000 000 000 kilos par an soit environ un tiers de la production totale de denrées alimentaires destinée à la consommation humaine

    Au niveau mondial, 1/4 de la nourriture produite est jetée sans avoir été consommée. Des chiffres choquants lorsque l’on sait que 13% de la population mondiale souffre de sous-alimentation.

    Ce gaspillage représente 750 milliards d’euros.

    Une autre étude (Smil, 2010) indique que 43% seulement des produits cultivés mondialement dans un but alimentaire sont directement consommés par les humains.

    Que représente le gaspillage alimentaire dans le monde ?

    Pour l’ensemble des pays développés, le gaspillage alimentaire est évalué entre 30 et 40% de la production de nourriture.

    Dans les pays riches, le gaspillage serait essentiellement dû au circuit de distribution : les distributeurs prennent peu de risque avec les dates de préremption et jetent les produits qui ne sont visuellement pas parfaits. D’énormes quantités de nourriture sont également perdues au cours des processus de transformation des aliments,lors de leur transport, mais aussi dans nos cuisines.

    Pour l’ensemble des pays développés, le gaspillage alimentaire est évalué entre 30 et 40% de la production de nourriture.

    A Bruxelles le gaspillage alimentaire s’élève à 15,2 kilos/habitant/an soit près de 12% des ordures ménagères brutes et 175 euros de nourriture jetée par an directement à la poubelle.

    En Grande-Bretagne, un rapport remis au Premier ministre en juillet 2008 estime qu’un tiers de l’alimentation achetée serait jeté, l’essentiel étant encore consommable. Le gaspillage final est évalué à plus de 500 euros par an et par foyer, soit 4,1 millions de tonnes de nourriture jetée.  Ce qui représente 13 milliards d’euros par an et 2,4 % des émissions de gaz à effet de serre du pays.

    Un quart des pertes de produits alimentaires du monde actuel serait suffisant pour nourrir les 870 millions de personnes qui meurent de faim dans le monde.  Environ un huitième de la population mondiale souffrent encore de la faim -¹ .

    Année après année, environ 1,3 milliard de tonnes de nourriture sont jetés parce du fait d’un stockage défectueux ou des moyens de transport inadéquats, soit parce qu’ils ne répondent pas aux exigences esthétiques des détaillants ou des consommateurs. Cela représente environ un tiers de la production alimentaire totale.

    40% de la nourriture jetée, qui aurait pu être consommée, sont des fruits et légumes frais. La viande, le poisson, le pain. Les autres produits boulangers, les produits laitiers, le riz et les pâtes font également partie des denrées alimentaires les plus souvent gaspillées.

    Le coût énergétique du gaspillage alimentaire

    990 000 000 000

    dollars de valeur alimentaire gaspillée / an

    L’alimentation est une des premières sources d’émission de gaz à effet de serre. Depuis la production jusqu’au traitement des déchets, le cycle de vie de la nourriture d’un Français moyen représente environ 20% du total de ses émissions quotidiennes.

    Selon le UN Food and Agriculture Organisation (FAO) éviter le gaspillage alimentaire et les pertes de nourriture représentent  $990 milliards par an

    1. De quoi parle le texte ?
    2.  

    3. Quel est le gaspillage alimentaire par an à Bruxelles ?
    4.  

    5. Quelles en sont les conséquences ?
    6.  

    7. Et toi ?
    8.  

    9. Quelles sont les autres formes de gaspillage ?
    10.  

    11. Quelles sont les gestes à adopter au quotidien pour diminuer le gaspillage ? Cites-en au moins cinq.
    12.  

    13. Comment pourrais-tu agir toi en tant que personne pour sensibiliser tes proches ?
    14.  

    15. Réalise un tableau récapitulatif avec les différents sujets, les conséquences sur l’homme et sur l’environnement

    Conclusion

    1. Comment vas-tu agir dès aujourd’hui face à cette problématique ?
    2.  

    3. Quelle leçon as-tu tirée par rapport à ces documents ?…